Les jeunes porteurs de projets n’ont plus besoin de local de domiciliation pour obtenir un registre de commerce relatif à leur activité.
C’est ce qu’a annoncé le ministre du commerce lors d’une journée d’information. Cinq options s’offrent alors en guise d’alternative. Les jeunes porteurs de projets peuvent domicilier leur siège social soit au domicile même d’un des porteurs de projet. Ils peuvent également domicilier auprès d’un commissaire aux comptes, d’un expert-comptable, d’un avocat ou d’un notaire.
La domiciliation au niveau du domicile personnel est contrainte à une durée de deux ans, renouvelable une seule fois.
Une initiative de taille quand on sait qu’elle permettra aux start-ups notamment d’aller au-delà des contraintes de domiciliation, souvent inutiles pour des activités du secteur de l’économie numérique.
L’obligation d’un local reste immuable pour certaines activités, liées à l’hospitalité pour exemple (restaurants, cafés…).